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Always Look on the Bright Side of Life !
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2 décembre 2006

Entrevues - Le soir où tout bascule...

Ce jour, celui de la clôture du 21ème festival international du film Entrevues de belfort, est et restera pour moi, l'une des pires expériences de ma vie.

La lecture du palmares m'a plongé dans un vide le plus complet : Le jury et le public ont couronné un film qui m'a laissé complètement  perplexe voire indiférent. Cela veut quand même dire, que je suis incapable de remarquer un film intéressant de manière objective, c'est à dire cerner les éléments qui composent le film et qui en font un bon ou un mauvais fim. Ce qui veut dire que je n'ai pas ma place comme "analyste scientifique" en master 2... C'est donc décidé, j'arrête TOUT à la fin de l'année !

Au passage, un prix a été décerné par le jury au film Subsitute de Fred Poulet et Vikash Dhorasoo (en présence du footballeur) sur les coulisses de la coupe du monde 2006. Film que je n'ai pas vu mais donc la critique du public n'a vraiment pas été bonne.

Donc le reste de ma journée marathon très brièvement :

Avec sentiment de Paul Véchiali (France, 1987) => J'ai adoré.

Le Café des Jules de Paul Véchiali (France, 1988) => J'ai aimé.

Gloria de John Cassavetes (USA, 1980) => J'ai vraiment adoré.

Discutiamo, discutiamo de Marco Bellocchio (Italie, 1968) => J'ai détesté

Addio del passato de Marco Bellochio (Italie, 2003) => documentaire sur La Traviata, j'ai aimé.

La Folle ingénue de Ernst Lubitsch (USA, 1946) => Excellente comédie que je mettrais en parallèle avec Pygmalion de 1938 avec Wendy Hiller et Leslie Howard. J'ai adoré.

Il regista di matrimoni de Marco Bellocchio (Italie, 2006) => Film présenté en avant-première pour la clôture et découvert lors du dernier festival de Cannes. De très belles images, mais je ne suis pas rentré dans le film. Je n'ai pas aimé.

Petite critique contre Bellocchio qui lance face à son public : "C'est difficile de parler de quelque chose quand on est pas préparé". Je voudrais souligner qu'il s'agissait d'un de ces films. Alors, quand un réalisateur n'est pas capable de parler de ses films, c'est grave !

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