The Phantom of the Opera

Bien meilleure que le film qui s'en inspira, cette comédie musicale à succès d'Andrew Lloyd Webber est à l'affiche a Her Majesty's Theatre sur Haymarket depuis 20 ans, et personne n'a l'air de s'en plaindre.
C'est l'histoire de Chritine Daaé, jeune danseuse à l'opéra populaire et du jour au lendemain propulsée Diva au Grand "Damn" de Carlotta Giudiccelli qui se voit relayée au second rang dans le coeur des patrons, du public et surtout du fantôme de l'opera qui hante les lieux. Celui-ci décide de prendre la jeune diva sous son aile alors qu'elle croit qu'il s'agit l'ange de la musique que son père défunt lui envoie. Ils sont tous deux subjugés l'un par l'autre, mais Chritine est amoureuse de Raoul Vicomte de Chagny... Sans vous parlez de Madame Giry qui vient foutre le brodel là-dedans... Bref, c'est simple pour personne.

Comédie musicale semi-lyrique, il n'est donc pas aisé de comprendre ce qui se dit dans les arias. Heureusement que j'avais bossé un peut le livret !

L'ouverture est aboslument phénoménale musicalement avec ses airs de toccata sensé représenté l'esprit du fantôme alors que le lustre s'élève dan les airs et que le theatre renait de ses cendres.

Deux moments forts : la pendaison de Joseph Bouquet introduit par un hurlement d'horreur des danseuses et surtout la chute du lustre sur le public à la fin de l'acte 1 et non pas en plein acte 2 comme dans le film !!!

Reste un phantom génial (Earl Carpenter) et une Madame Giry (Annette Yeo) tonnitruante ! "Such Ronds de jambes, such tours de cuisses !"

Comme d'ab, un triomphe mérité !